Il était une fois... | |||
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conte | |||
F.Georges |
Il était une
fois un monsieur, qui cherchait à occuper le temps libre que lui
procurait la prépension.
Il poussa la porte de l'U.3.A., et en particulier, la porte de la classe n°9. |
Là, une bonne
fée se pencha sur le problème et le guida pour ses premiers
pas dans la science magique de “l'informatique”.
Tout se passa bien, les heures occupées devant l'écran le réjouissaient. Un jour, vint “la semaine Internet”. |
La bonne fée
expliqua les divers chemins et astuces pour éviter les embuches
de “la toile d'araignée”. Elle entreprit même une démonstration
... Le “Web” avait l'air gigantesque, mais combien attirant !
Le jour suivant, le
monsieur franchit le seuil d'un cybercafé, s'assit tout confiant
devant un écran animé et multicolore.
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Le monsieur lança ses premiers http, www, @, bel... etc. Mais le monstre “Internet” le guettait caché dans un repli de sa toile, tapi sur un “URL”. Quand le monsieur se hasarda sur “Wanadoo”, “Yahoo”, ou “Altavista”... allez savoir, il se perdit... Le monstre tentait de l'immobiliser en lançant ses rets... |
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Vite, vite, il fallait
sortir de cet écheveau !...Et en sortir, c'était trouver
le bon fil... Mais où ?...
Le monsieur s'affola,
cliqua à gauche, à droite, double-cliqua... Cette toile devenait
inextricable !
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Les anges, occupés ailleurs ne venaient pas à son secours ! Ils dépétraient d'autres victimes ! |
Définitivement
immobilisé, englué dans la toile, le monsieur s'avoua battu...
Moment précis où quelqu'un se pencha sur son épaule...
c'était la bonne fée qui, d'un coup de souris magique (Oh
! Oh !... le “CHAT” ne l'avait pas mangée ?) le libéra
et énonça avec son plus beau sourire : “...nooon ! il
ne faut jâââmais cliquer n'importe où...”
Ouf..., sauvé ! |
Moralités :
Que vous soyez logique ou mathématique, pratique ou poétique,
plein de tics ou de clics, c'est certain, avec Internet, vous manquerez
votre train !
Cliquez, recliquez sans cesse, cent fois revenez sur votre “page”... et des arcanes du “Web” vous connaîtrez la profondeur! |
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Francis
Georges
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